À propos de moi (ou pourquoi t’es tombé ici)

Salut! Moi c’est Jenny. 35 ans, Saguenéenne pure laine, grande amoureuse de l’amour, et aussi de l’auto-dérision. Bienvenue dans mon petit coin de l'Internet où je vide mon sac, je partage mes réflexions pas toujours polies-polies, mes anecdotes de vie souvent absurdes, et mes opinions franchement assumées.

Je suis une romantique finie avec une tête pleine de nuages… et aussi de troubles mentaux. Ici, on ne cache rien : TPL (trouble de la personnalité limite), TAG (trouble d’anxiété généralisée), dépression, émotions XXL — j’en parle avec transparence, humour, et un brin de poésie brute que tu saura apprécier. Parce que je pense que normaliser ces conversations, ça peut juste faire du bien (pis ça fait du bon contenu aussi, soyons honnêtes).

Mon blogue, c’est un genre de journal intime, une excursion dans ma tête ouverte à tous, mais avec des punchlines. Je parle de politique, de société, de ce qui me fait rager ou rêver, de mes échecs glorieux comme de mes victoires en mou. Bref, je jase. Et toi, tu lis (ou tu ris, ou tu cries... t'as le droit, c'pas moi qui va te juger).

Bienvenue dans ma tête. C’est un peu chaotique, mais c’est toujours authentique.

Les jingles qui vivent gratis dans ma tête depuis 1996

Te revoilà mon cher lecteur masochiste qui persiste à me lire malgré mes cogitations hebdomadaires, laisse-moi te confier un aveu qui pourrait ébranler les fondements mêmes de ma crédibilité intellectuelle : je m'ennuie des publicités québécoises. C'est pas drôle, j'ai troqué à la base ma télé traditionnelle pour avoir enfin la paix des maudites annonces puis je suis ici présentement en train de vous dire que ça me donnerait un petit bonheur de voir un 3 minutes d'accent québécois dans ma télé. Parce qu'on va se le dire, on a gagné en maximisant notre binge-watching de Stranger Things mais, on a perdu un patrimoine culturel d'une richesse inouïe.

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Ginette et Wizz: Douceur dolmissoise pour milléniaux

C'était le Festival du Bleuet de Dolbeau-Mistassini dernièrement. Étant native des environs, avant de prendre le Saguenay comme résidence permanente, j'ai, à chaque début de mois d'août, une nostalgie immense de mon adolescence passée dans les années 2000. Selon moi, c'est la période qui incarne vraiment le summum de la civilisation humaine. Et je vais te le prouver avec la rigueur scientifique d'un épisode de Découverte animé par le beau Charles Tisseyre, un homme chaud comme de la braise, si tu veux mon avis.

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Zéro chips, zéro fun, zéro résultat

C'est rendu que regarder dans le miroir le matin, c'est comme checker la météo avant d'aller aux bleuets : tu sais que ça va être décevant, mais tu le fais pareil en espérant un miracle. Pis là, au lieu de voir un être humain normal, tu vois une liste d'épicerie de défauts : "Tiens, mes hanches ont encore pris de l'expansion comme le périmètre du Lac Saint-Jean après le déluge", "Mes rides se multiplient comme les hannetons en juin", pis "Mon ventre ressemble à une tourtière qui a dégelé trop vite dans le four".

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Finances de marde pour gens brillants

Installons-nous confortablement dans notre misère financière commune pour décortiquer ensemble le phénomène le plus troublant de notre époque moderne : comment, maudite marde, on peut recevoir notre paie un jeudi et se retrouver à fouiller dans le divan pour trouver 2,75 $ pour un café le lundi suivant.

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Du sirop d'érable dans l'âme, des sacres dans la bouche

Y’a quelque chose de magique dans le langage québécois. C’est pas juste des mots, c’est de la vibe, du non-dit, des émotions condensées dans une formule aussi courte qu’un texto d’adolescent fâché. On a des phrases ici qu’on lance comme des pucks de hockey, mais qui, selon le ton, peuvent vouloir dire : « je t’aime », « va chier », ou « j’suis en train de vivre une crise existentielle, mais j’ai plus de vin ».

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Page blanche et pantoufles : l'art de l'écriture

Si tu te retrouves ici en tant que personne qui me connaît, je suis contente de te retrouver. Si tu ne me connais ni d’Ève ni d’Adam et que quelqu’un t’a partagé ce site, bienvenue chez nous, mets tes bottes dans le bain, y’a des chips sur la table et installe-toi confortablement, on va avoir du fun. Après maintes et maintes reprises où j’ai entendu les gens me dire que mes écrits leur faisaient du bien et que j’avais une façon particulière de formuler les choses pour les faire rire, j’ai décidé qu’il était temps d’arrêter d’angoisser sur le fait que je peux me planter et de lancer enfin mon propre blogue. Suffit les rêves, voici le concret, mon petit coin des Internets vraiment à mon image : coloré, pas parfait et rempli de passion.

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